(Oui, ce sont principalement les mêmes que sur ma page Facebook, mais il y a des gens merveilleux qui n'ont pas accès à ma page facebook, et moi aussi j'en souffre)
1/ Dans cet appel à la Croisade, datant du 27 novembre 1095, je ne sais pas, il y a certaines choses qui résonnent avec d'autres que j'entends çà et là, même si je tente par tous les moyens possibles de calfeutrer mes écoutilles. J'aime bien l'argument "c'est dieu qui commande", il me fait rigoler, les bons jours
2/ Et donc là, on arrête tout de suite de rigoler, blasphémer en Irlande pourra maintenant vous coûter 25 000 € - c'est dissuasif, en effet, ça vous dissuade d'ouvrir votre gueule pour dire ce que vous pensez, même si c'est sur le coup d'un marchage de pied. Quelque part je m'en fous, parce que je ne jure quasi jamais avec des bondieuseries à l'intérieur et encore moins en irlandais, mais sait-on jamais, ça peut servir.
4/ Il y a peu, je suis allée là, parce que Vincent Dieutre en parle dans son film, Mon voyage d'hiver, parce que Rosa Luxemburg fait partie de celles qui se retrouvées jetées à l'eau - peut-être pas morte, peut-être encore vivante -, parce qu'elles représentaient un danger insoutenable pour un pouvoir politique moribond. Sur sa stèle, "on" nous apprend que la violence n'est pas un moyen pour résoudre les conflits.
Et bonne année mon cul !
1 commentaire:
Le premier point fait effectivement ressortir une permanence affligeante. Le parallèle a des accents saisissants. Merci pour cette exhumation pestilentielle mais utile.
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