dimanche 23 mars 2008

Eternalisme attalien



Dans la typologie que proposent Alexander Bard et Jan Söderqvist, il y a l'éternaliste. Celui qui surplombe, qui analyse, l'équivalent métaphorique du philosophe des temps précédents. Jacques Attali est de ceux-là ; ici dans l'extrait d'un plus qu'excellent documentaire dont je commenterai le reste en ce lieu, bientôt.


A noter le succulent :

Trois quarts des patrons du Cac 40 ne répondent pas directement à leurs emails, pareil pour les parlementaires. Soit-disant parce qu'ils sont débordés, mais en réalité, c'est parce qu'ils ne savent pas s'en servir ou parce que cela leur semble indigne de leur statut social.

4 commentaires:

Anonyme a dit…

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Il est bien, Attali, je trouve, moi, même s'il se trompe en disant que les humains sont les seuls animaux à baiser par devant (il n'a pas vu les bonobos ni les chimpanzés, ni je ne sais plus quel mille-pattes cité par Dawkins).
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Ça ne fait rien, il est bien quand même ...
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PS a dit…

En effet, dans le temps, quand j'étais bête, j'étais un peu gênée par son air de chouette blasée.

A le lire et l'entendre, de plus en plus, outre que je comprends sa blasitude, je ne peux que l'aimer jusqu'à la fin des temps, même s'il a des défauts - ne pas connaître les mœurs des bonobos en est un gros.

Et je m'en veux d'avoir été si bête - même si c'est d'usage en ces époques de pénitence.

Anonyme a dit…

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Bête ? Vous ? Quelle rigolade !

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Peggy a dit…

c'est pour cela que je précise : dans le temps !